
L’été, c’est le plaisir de sortir et d’aller se promener. Un phénomène de plus en plus commun est que tout ce qui roule, qui n’est pas une auto ou une moto, se retrouve sur le trottoir.
Je ne parle pas de rollerblades, en fait, on dirait qu’ils sont disparus. Non, je parle des trottinettes, électriques ou pas, et des vélos.
Certaines artères ne sont pas pourvues de pistes cyclables.
Dans les années 80, le Club Optimiste tenait annuellement une journée de la sécurité routière destinée aux enfants.
On y apprenait à :
- à rouler dans le tiers droit, de la voie de droite, dans le même sens que les véhicules.
- à signaler nos intentions : tourner à droite, à gauche, et arrêter.
- à suivre les panneaux de signalisation et donc, faire nos stops.
Il semble que ces journées soient disparues, comme les rollerblades.
Je comprends que rouler dans la rue, puisse faire peur (en fait, je ne comprends pas, mais je comprends). Si la rue est très passante et très étroite, et que tu veuilles utiliser le trottoir, descend de ton vélo et marche.
L’autre option, c’est qu’une rue passante est souvent au centre de deux rues qui le sont moins. Modifie ton trajet.
Autre chose : les sens uniques.
J’habite sur un sens unique, je vois les trottinettes et les vélos dévaller la pente en sens inverse. Faut croire aux anges gardiens, parce qu’il n’y a pas eu de face-à-face. Un jour, je suis convaincue qu’il y en aura un, ce sera triste, mais le conducteur de la voiture ne sera pas tenu responsable. .
À retenir : ce qui trotte va sur le trottoir et ce qui roule, va sur la rue et dans le sens de la circulation.
